
La fête nationale monégasque a donné lieu, comme chaque année, à une cérémonie pleine d’élégance et de symbolisme au palais princier.
Enceinte de son deuxième enfant, et première de ses amours avec le producteur Dimitri Rassam, Charlotte Casiraghi a une drôle d’explication sur la cruauté et notamment celle des djihadistes de l’Etat Islamique.
Cette conception, elle l’explique non seulement dans "Archipel des passions", co-écrit avec son ex professeur Robert Maggiori, mais aussi lors d’un entretien avec "Le Figaro".
"On ne fait pas de politique, on fait de la philosophie, mais on tente de donner d’humbles outils pour comprendre le monde contemporain", explique la fille de Caroline de Monaco, qui a suivi des cours de philosophie à la Sorbonne. Elle a aussi obtenu mention très bien au Bac.
Et Charlotte Casiraghi s’intéresse ensuite au chapitre sur "la cruauté", occasion d’évoquer le cas particulier des djihadistes d’État Islamique, le groupuscule terroriste à l’origine de plusieurs attentats en France.
"Si on lit notre chapitre sur la cruauté, de « cruor », la sanguinolence, on comprend pourquoi, pour les djihadistes d’État islamique, il ne suffisait pas d’égorger, mais il fallait aussi montrer, élément essentiel de leur puissance terrorisante. Dans monstration, il y a monstre", a-t-elle indiqué.
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