De retour à une vie relativement normale malgré cette crise terrifiante imposée par le Covid-19, Charlotte Casiraghi et Dimitri Rassam verraient leurs projets prendre l’eau. Une angoissante confidence de Carole Bouquet.
L’héritière monégasque se faisait une joie de se lancer dans la production, en suivant en cela les conseils de son mari.
Elle a coproduit "Notre-dame du Nil", réalisé par Atiq Rahimi, où la discrimination subie par le tutsis au Rwanda est abordée. Ce film a été projeté au festival de Toronto.
Et alors que sa carrière de productrice vient à peine de s’amorcer, elle aurait déjà du plomb dans l’aile. L’avenir du cinéma serait compromis.
Cette confidence est livrée par Carole Bouquet lors d’un entretien à la version italienne du magazine "Elle", où elle était interrogée sur l’avenir du cinéma.
"Il faudrait une diseuse de bonne aventure pour répondre. Je devrais être de retour sur le plateau en juin, mais comment ? Comment les équipes de tournage seront sécurisées et quel prix ? Et comment les acteurs garderont la distance dans les prises. Seuls des films de costumes devront être réalisés, mais de l’époque de Marie-Antoinette, quand les crinolines avaient un mètre de diamètre ! Bref, je ne sais pas", a-t-elle reconnu.
Ces articles devraient vous intéresser :
