À l’occasion du Bal de la Rose, le prince Albert de Monaco s’est affiché avec sa nièce, Alexandra de Hanovre et Tatiana Santo Domingo, l’épouse d’Andrea Casiraghi. Un détail a intrigué.
Si Charlène de Monaco est plus naturelle et bien plus souriante, c’est qu’elle aurait été coachée pour mieux soigner ses apparitions publiques.
La princesse du Rocher était perçue comme « froide », comme le rappelle le magazine « Oggi ».
Le magazine italien était pourtant l’une des publications qui s’en étaient pris à l’épouse du prince Albert de Monaco.
« Elle est austère dans ses looks - elle porte une robe noire et bleue très structurée - et pas seulement, avec son mari, elle échange seulement quelques mots et les regards et les sourires se font au compte-gouttes », commentait le média.
Et s’elle semble mieux désormais, ce serait surtout grâce Corinna zu Sayn-Wittgenstein, la supposée ancienne maîtresse du roi Juan Carlos.
Les deux femmes ne se lâchaient plus d’une semelle et avaient fait une apparition très remarquée aux funérailles de Nelson Mandela.
A en croire « Vanity Fair » cette fois, ce serait le prince Albert qui aurait fait appel aux services de cette aristocrate allemande en vue de délivrer des conseils à Charlène de Monaco dont l’image était à l’époque « écornée » en raison de prétendus faux-pas.
Corinna zu Sayn-Wittgenstein serait restée dans la principauté quelques mois avant d’en être écartée en raison de son image « sulfureuse ».
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