Au plus fort de la crise avec le prince Albert de Monaco, Charlène de Monaco aurait prononcé le mot divorce. Mais l’entourage du prince Albert lui aurait fait changer d’avis.
Le magazine Reine et Rois revient sur la relation perçue comme complexe entre le prince Albert de Monaco et la mère de ses jumeaux, Gabriella et Jacques.
Pour appuyer son propos, le mensuel se basent sur les révélations du magazine allemand Bunte, généralement bien informés de tout ce qui se passe autour du Palais princier.
Ils auraient eu des raisons de croire qu’un divorce est en cours de préparation.
« Des choses étranges se passent à Monte-Carlo depuis plus d’un an », prétendait la publication.
Et de prétendre que Claude Palmero, un expert-comptable monégasque, qui est aussi administrateur des biens du prince Albert II et de la famille princière depuis 2001, se serait activé auprès de l’entourage de Charlène de Monaco, alors que celle-ci était coincée en Afrique du Sud, officiellement pour raison de santé.
Cet homme est celui qui était chargé de régler le problème financier concernant Alexandre Grimaldi-Coste, le fils qu’Albert a eu avec Nicole Coste, une ancienne hôtesse de l’air. Fils que le prince Albert a reconnu le 7 juillet 2005. Il a désormais ses entrées au Palais.
Bunte croit savoir qu’une entreprise appartenant au frère de Charlène, Gareth Wittstock, a été récemment rachetée par le biais d’un réseau d’entreprises basées sur l’île de Malte, et son but serait de faciliter l’installation de Charlène de Monaco en Afrique du Sud.
Mais depuis, ce projet semble avoir pris l’eau, à la suite d’un accord. La rivale de Charlène de Monaco, Nicole Coste, serait écartée, et les activités protocolaires de la première dame seraient limitées.
D’après le magazine Bild, la première dame est bien à Monaco, où elle serait sur la voie de la guérison.
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