Cauchemar en train ! Christine Kelly obligée d’attendre après une collision

– par Nolwenn A. Dalpiva
Cauchemar en train ! Christine Kelly obligée d'attendre après une collision

Alors qu’elle se rendait en train à la 43e édition de la Foire du livre de Brive, la journaliste Christine Kelly a vécu des heures « d’angoisse » ! Un voyage qui a littéralement « viré au cauchemar » et qui l’a malheureusement empêchée de se joindre à l’événement qu’elle tenait tant à honorer.



Cet épisode est exhumé par le magazine Ici Paris, qui reprend une publication Instagram.

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C’est sur ce réseau social, le 13 novembre, que l’animatrice de Face à l’info sur CNews, qui avait démenti une idylle avec Eric Zemmour dans le passé, a raconté sa mésaventure : « Nuit difficile, comme il en arrive parfois. Pour moi, c’était une première. Presque une nuit entière à patienter ».

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Le train pour Brive s’est subitement immobilisé, tard dans la nuit, dans une petite commune : « Connaissez-vous Saint-Cyr-en-Val ? poursuit-elle. C’est là que mon train s’est arrêté, tard dans la nuit. »

La raison de cet arrêt brutal, qui a fait paniquer la journaliste et tous les passagers, était totalement inattendue : « À cause d’un sanglier ! Le train en a heurté un » !

Mais la situation ne s’est pas arrangée avec le temps. L’incident a nécessité une procédure lourde : « Il a fallu attendre l’autorisation de la préfecture pour que les pompiers puissent intervenir et aider le convoi, à repartir », a-t-elle relaté. Durant cette longue attente, elle a noté des scènes surréalistes : « Des passagers qui chantent. Des rencontres inattendues ».

Cette angoisse a dû être particulièrement éprouvante pour la journaliste de 56 ans, dont le dernier ouvrage, aux éditions Fayard, aborde justement ses propres « traumas de l’enfance » et sa lutte contre des idées noires. Elle y raconte comment elle a perdu la mémoire en mai 2021 devant les caméras, ainsi que les souvenirs de « harcèlement scolaire » et de « séquestration pendant vingt ans ». On se demande si la panique dans le train n’a pas réactivé ces vieilles blessures : « Pourquoi moi ? »

Finalement, Christine Kelly, qui s’était confiée il y a peu sur la perte de ses jumeaux, n’a pas pu rejoindre les lecteurs et a confié sa déception : « Impossible, hélas, de rejoindre les lecteurs qui m’attendaient ce matin... »