Caro­line de Monaco- Gala revient sur son pire péché de jeunesse

– par Nolwenn A. Dalpiva
Caro­line de Monaco- Gala revient sur son pire péché de jeunesse

A l’occasion de son 60ème anniversaire, Caro­line de Monaco a eu droit à son portrait dans les colonnes de Gala.
Son parcours et sa vie sentimentale compliqués n’ont pas manqué d’être évoqués.



Et l’un de regrets de la soeur du prince Albert de Monaco serait son mariage avec
Philippe Junot, un finan­cier play­boy de dix-sept ans son aîné.

« Caro­line fait sa révo­lu­tion de palais mais la prin­cesse déchante vite. Le mariage le plus média­tique de l’an­née 1978 avec 700 invi­tés au bal, dont Ava Gard­ner et Cary Grant mais aucune altesse royale, prend vite des allures de naufrage et, moins de deux ans plus tard, le ­divorce est prononcé suite aux infi­dé­li­tés répé­tées suppo­sées de monsieur », rappelle Gala. M. Junot, en revanche, a affirmé que ce sont les relations de Caroline et l’ingérence constante de ses parents qui ont conduit à la rupture.

La princesse Caroline de Monaco ira même jusqu’à introduire en 1981, une demande en nullité du mariage auprès de Rome.

Cette longue procédure n’a abouti que dix ans plus tard.
« En 1992, Jean-Paul II l’ac­corde et la prin­cesse rede­ve­nue céli­ba­taire tire un trait défi­ni­tif sur cette union qui ressemble, à ses yeux, à un péché de jeunesse », indique Gala.