
Booba, après avoir déclaré la guerre aux influenceurs, s’engage désormais dans une vaste campagne antivax, prenant pour cible un oncologue qui lutte contre la désinformation médicale.
Si Booba vénère sa mère, Lucie, qui a enchaîné les emplois pour l’élever avec son frère, en revanche, il ne semble pas apprécié son père, qui aurait géré plusieurs boites de nuit à Paris.
« En creux se dessine un hommage à sa mère à lui, Lucie, une « céfran » qu’il vénère, enchaînant les emplois (secrétaire, guide sur les Bateaux Mouches, femme de ménage) pour l’élever en solo avec son frère Gilles, principalement à Meudon-la-Forêt, où elle vit toujours », rapporte le Journal du Dimanche, qui consacre un dossier à Booba.
Son père, 82 ans, désormais installé à Dakar, que la rédaction du Journal de Dimanche, a réussi à le contacter sur Messenger. Il signe ses message « daron Yaffa ».
Il assure avoir été un grand danseur de salsa et dirigé cinq boites de nuit à Paris. Il en a profité pour envoyé des photos sur lesquelles on le découvre avec Johnny Hallyday et Claude Nougaro.
Malgré ses talents d’artiste, il n’aurait pas influencé Booba et n’aurait jamais été son moteur.
« Il ne m’a jamais élevé, il ne s’est jamais occupé de moi, il n’a jamais donné d’argent », lâche Booba, qui s’affiche « papa poule » avec Luna et Omar, 8 et 7 ans, les deux enfants qu’il a eus avec son ex-femme Patricia Vinces, une Vénézuélienne rencontrée à Miami.
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