Selon le magazine Public, Anthony Delon aurait fermement opposé son veto à la venue d’Anne Parillaud, qui a partagé la vie d’Alain Delon de 1981 à 1986.
Bien qu’elle ait manifesté le souhait de rendre hommage à l’acteur, la présence d’Anne Parillaud n’a pas été tolérée par Anthony Delon.
Selon une source citée par Public, Anthony n’a jamais bien accepté la relation entre son père et Anne Parillaud, en raison de leur différence d’âge, et plus globalement, il n’a jamais approuvé les nombreuses conquêtes de son père. Pour lui, seules trois femmes méritaient une place dans le cœur de Delon : Romy Schneider, sa propre mère Nathalie Delon, et Mireille Darc.
L’aîné de la fratrie aurait également pris ombrage d’une erreur commise par une journaliste de BFM, qui a mentionné par inadvertance un mariage entre Alain Delon et Rosalie van Breemen, autre ex-compagne de l’acteur.
Anthony Delon n’a pas hésité à contacter la chaîne pour rectifier cette fausse information, signe que certaines blessures familiales restent vives, même après la disparition de son père.
La gestion des obsèques d’Alain Delon a ainsi révélé les tensions et les cicatrices non refermées au sein de la famille, démontrant que le légendaire acteur a laissé un héritage bien au-delà de ses films.
« Je suis triste, évidemment », confie la comédienne toujours en pleine promotion de « Je ne serais pas arrivée là, si », une pièce signée Annick Cojean. « Et en même temps, c’est très dur ce que je vais dire, mais les parents construisent les enfants. Si ses enfants agissent de cette façon, il a sûrement aussi une responsabilité ».
« Peut-être qu’un peu trop de mainmise sur ses enfants crée des révoltes, des colères, des injustices… et voilà, ça se traduit peut-être aussi comme ça », ajoute Anne Parillaud, qui garde un souvenir ému de sa relation avec Alain Delon.
Au printemps dernier, Anne Parillaud avait balancé sur Alain Delondans Quelle Epoque, l’émission de Léa Salamé sur France 2. Il était question du conflit entre ses enfants.
« Je suis triste, évidemment », confiait la comédienne alors en pleine promotion de « Je ne serais pas arrivée là, si », une pièce signée Annick Cojean.
« Et en même temps, c’est très dur ce que je vais dire, mais les parents construisent les enfants. Si ses enfants agissent de cette façon, il a sûrement aussi une responsabilité ».
« Peut-être qu’un peu trop de mainmise sur ses enfants crée des révoltes, des colères, des injustices… et voilà, ça se traduit peut-être aussi comme ça », ajoute Anne Parillaud, qui garde un souvenir ému de sa relation avec Alain Delon.