Sylvie Vartan, elle fuit les États-Unis !

Une décision radicale qui pourrait être liée au contexte politique actuel, notamment la présence de Donald Trump à la Maison-Blanche.

Le président américain a clairement fait savoir que les étrangers n’étaient plus les bienvenus dans son pays, rappelle le magazine France Dimanche dans son édition de cette semaine.

Un retour à Paris pour la famille et un deuil bouleversant !

Pourtant, cette politique xénophobe ne serait pas la seule raison de ce départ inattendu.

Il y a un an à peine, l’interprète de Comme un garçon, 80 ans, confiait encore son bonheur de vivre une grande partie de son temps à Los Angeles, dans sa "villa blanche aux allures romantiques" acquise en 1984 avec l’amour de sa vie, Tony Scotti.

Un exil choisi pour offrir à son fils David une "vie normale", loin du "tourbillon des médias".

Mais si elle devait définitivement rentrer à Paris, dans sa magnifique maison de la Villa Montmorency, ce serait avant tout pour "profiter pleinement des siens". Sa famille, notamment les filles de David, Ilona et Emma, et son fils Cameron, s’est bien agrandie.

Et la belle Ilona, déjà maman d’un petit Harrison, attend son deuxième enfant ! De quoi occuper sa future arrière-grand-mère.

Mais un autre événement, beaucoup moins joyeux, aurait conforté Sylvie Vartan dans sa décision de rentrer à Paris : le décès en mars dernier de Ben, le frère de Tony Scotti, à l’âge de 87 ans des suites d’une longue maladie.

Ce deuil aurait profondément affecté la chanteuse, qui n’aurait pas eu la force de se rendre aux obsèques de celui qui, avec son épouse, était la seule famille du couple Scotti aux États-Unis.

Tony Scotti pourrait d’ailleurs suivre l’élue de son cœur en France, d’où il gérerait à distance sa société de production. Une nouvelle vie s’annonce pour Sylvie Vartan, entre le chagrin du départ et la joie des retrouvailles familiales.