Ce n’est pas la grande forme pour Stromae, rapatrié et hospitalisé en Belgique, après une tournée africaine de quelques semaines.
’Auguri Production et Mosaert’, son producteur, avait déjà livré la raison de cette annulation de la tournée africaine du chanteur, en précisant que l’intéressé « subit les effets secondaires sérieux d’un traitement prophylactique (préventif) antipaludique ».
Le chanteur manquera le Wireless festival de Londres (le 5 juillet), le festival Benicassim (Espagne, le 17 juillet) ou encore le Osheaga qui doit se déroulera à Montréal fin juillet.
Et cette semaine, la presse people, non seulement ’Voici’ et Closer, mais aussi Public, lequel lui consacre sa Une, revient à la charge.
Public prétend en effet que « c’est beaucoup plus grave que prévu », en qualifiant le chanteur belge d’« hypersensible et passionné quitte à y laisser sa santé ».
Il aurait été victime « un craquage tout simplement », d’autant que depuis novembre 2013, il a enchaîné 200 concerts dans 25 pays.
Stromae avait en outre craqué à la télé ivoirienne. Il était dépassé par ses émotions en parlant du fait qu’il devait chanter à Kigali pour la première fois « dans le pays où son père a été assassiné en 1994 pendant le génocide ».
« Au fur et à mesure que je vais me rapprocher du Rwanda… ce sont pas mal de choses en moi qui vont ressortir. Et je ne sais pas à quoi m’attendre, honnêtement », disait-il, larmes aux yeux.
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