Penelope Fillon tétanisée à l’idée d’aller à l’Elysée ? Elle répond

12 avril 2017 - 21h00 - Télévision - Ecrit par : Rédaction LeGossip

Pénélope Fillon, l’épouse de François Fillon, est loin d’être tétanisée à l’idée de suivre les traces de Carla Bruni et Bernadette Chirac et les autres premières dames, même s’elle a du mal à s’imaginer vivre à l’Elysée.

« Je n’y suis pas allée très souvent, même si j’ai assisté à quelques diners d’état, confie-t-elle à Alix Bouilhaguet, l’auteure du divorce « Le Couloir de Madame ».

Et de poursuivre : « Vous vous sentez comme un hôtel caverneux. Mais il n’y a pas de raison pour que l’atmosphère ne soit pas un peu plus détendue ».

Mais pas de doute, si son mari devait être élu à la présidence de la république, elle s’installera au château. En tant que britannique, elle espère « apporter un peu d’humour » au rôle première-dame.

« Je n’ai pas encore décidé si j’allais imposer l’anglais comme langue officielle à la présidence de la république parce que je ne me projette pas encore là bas", plaisante-t-elle.

D’après l’auteure, elle trouve piquant de penser qu’une épouse britannique pourrait vivre à l’Elysée, auprès d’un président français, chargé de prononcer les modalités du dvivorce entre sa patrie et la France.

illon, l’épouse de François Fillon, est loin d’être tétanisée à l’idée de suivre les traces de Carla Bruni et Bernadette Chirac et les autres premières dames, même s’elle a du mal à s’imaginer vivre à l’Elysée.

« Je n’y suis pas allée très souvent, même si j’ai assisté à quelques diners d’état, confie-t-elle à Alix Bouilhaguet, l’auteure du divorce « Le Couloir de Madame ».

Et de poursuivre : « Vous vous sentez comme un hôtel caverneux. Mais il n’y a pas de raison pour que l’atmosphère ne soit pas un peu plus détendue ».

Mais pas de doute, si son mari devait être élu à la présidence de la république, elle s’installera au château. En tant que britannique, elle espère « apporter un peu d’humour » au rôle première-dame.

« Je n’ai pas encore décidé si j’allais imposer l’anglais comme langue officielle à la présidence de la république parce que je ne me projette pas encore là bas", plaisante-t-elle.

D’après l’auteure, elle trouve piquant de penser qu’une épouse britannique pourrait vivre à l’Elysée, auprès d’un président français, chargé de prononcer les modalités du dvivorce entre sa patrie et la France.

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