Ses filles, Deva et Léonie, qu’elle a eue de sa relation avec Vincent Cassel, sont le cadeau le plus fantastique de la vie, confie Monica Bellucci dans les colonnes du magazine ’Gala’, qui lui consacre un dossier.
’C’est celui que m’a fait la vie’, répond la bombe italienne à une question de Gala sur le ’cadeau le plus fantastique’.
’J’ai eu besoin de passer par des choses pour comprendre en profondeur des choses sur moi. J’ai attendu longtemps avant d’avoir Deva, ma première fille (elle avait 39 ans), parce que je voulais être pour ce moment comme j’avais envie de le vivre, c’est à dire comme un voyage intérieur et total’, poursuit celle qui aurait tourné la page Vincent Cassel avec lequel elle est séparée après 18 ans de vie commune.
’Pour cela, il me fallait avoir traversé des étapes, acquis une certaine sagesse. J’ai voulu mon deuxième enfant, Léonie, avec la même force que le premier’, indique-t-elle.
Monica Bellucci se confie également dans les colonnes du magazine ’Elle’, où elle a évoqué les raisons qui l’ont poussées à poser ses valises en France.
’Quand j’ai divorcé, j’ai pensé qu’il fallait que je leur donne une stabilité. J’ai eu besoin d’un peu de sécurité. D’un chez-moi. J’adore Rio, où vit leur père, Vincent (Cassel), mais ma vie est en Europe. Mon identité est européenne", rappelle la bombe italienne.
’Tout en moi est italien, mes couleurs, mon physique, ma façon de me nourrir, mon énergie. Mais une partie de mon cœur est à Paris’, poursuit-elle. ’Je n’ai jamais été résidente française. Vivre en France, c’est un vrai choix. Ça m’a même paru un peu dingue…Tout le monde quitte la France et, moi, je m’y installe’.
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