Du corps brisé, de la déchéances, Monica Bellucci en parle dans les colonnes du magazine ’Elle’. Une trouble confidence.
La bombe italienne, officiellement coeur à prendre, se livre lors d’un entretien accordé au magazine « Elle », à l’occasion de la promotion d’une pièce dans laquelle elle endosse le rôle de la cantatrice grecque Maria Callas.
L’ex femme de Vincent Cassel se met aussi dans la peau de la soprano Alessandra, dans la nouvelle réalisation de Roman Coppola.
Ces rôles lui ont beaucoup appris, notamment « qu’une chanteuse, comme une actrice, ne peut pas échapper à elle-même ».
« Si l’on est brisée, si le corps ne tient plus, l’artiste ne peut pas suivre. Et c’est terrible », commente celle qui ne se considère pas comme une diva.
« J’ai les pieds sur terre au contraire. La vie de tous les jours, certes ponctuée de film et de tapis rouge, me nourrit beaucoup. La répétition, les rites, les petits gestes, confie Monica Bellucci. Rien n’est banal, alors que je veille à ne jamais perdre de vue la beauté du quotidien ».
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