Meghan Markle a pris la décision de lever le voile sur le mal dont elle a souffert, en toute transparence...
Tandis qu’elle s’entretenait avec Reshma Saujani, fondatrice de l’organisation Girls Who Code, qui œuvre pour l’inclusion des femmes dans le secteur de la technologie, l’épouse du prince Harry s’est confiée sans fard, comme jamais auparavant. Ses confidences sont reprises par le dernier numéro de Ici Paris.
« J’ai l’impression que si vous lisez mon journal intime, c’est vraiment très perspicace », a-t-elle souligné. Car, comme la maman d’Archie [5 ans] et Lilibet [3 ans], qui avait fait face à une fausse-couche, a traversé des épreuves encore plus graves : elle a frôlé la mort ! Le pire était évité.
« Nous avons toutes les deux vécu des expériences très similaires, avec des niveaux élevés de protéines dans les urines. Elle augmente le risque d’accouchement prématuré.
La seconde survient pendant l’accouchement, ou juste après, et entraîne des convulsions, le risque d’AVC [accident vasculaire cérébral] ou une embolie ou un syndrome HELLP [syndrome associant hémolyse, élévation des enzymes hépatiques et thrombopénie].
Elle [la pré-éclampsie] peut notamment endommager le cerveau, les reins et le foie.
Une question de vie ou de mort », a révélé Meghan Markle dans son podcast Confessions of a Female Founder à son interlocutrice de 43 ans.
Un trouble « très rare et terrifiant », une « pathologie rare et effrayante » qui cause « des frayeurs médicales énormes ».
À tout moment, l’épouse du prince Harry, qui a lancé sa marque As Ever en 2024, discute avec des femmes qui ont créé leur propre entreprise pour réfléchir sur la manière d’allier maternité et entrepreneuriat.
« Nous avons toutes les deux souffert de pré-éclampsie - de pré-éclampsie post-partum. », a-t-elle indiqué.
La première est un dysfonctionnement du placenta qui se manifeste par une tension artérielle élevée. Meghan Markle l’a donc échappé belle.
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