Le prince Harry aurait choqué Meghan Markle après avoir dévoilé un secret honteux pendant le procès l’opposant contre le Daily Mirror. Il était atteint par une maladie honteuse.
Prince Harry révèle un douloureux secret lors de son procès : Meghan Markle sous le choc !, rapporte le magazine France Dimanche, qui en dit un peu plus sur ce secret. Il s’agit d’une maladie.
Depuis le 6 juin, le duc du Sussex se retrouve à la barre de la Haute Cour de justice d’Angleterre dans le procès qu’il a intenté contre le Daily Mirror, l’un des tabloïds britanniques les plus populaires.
Son objectif est de prouver que le journal a largement eu recours au piratage téléphonique pour alimenter des articles le concernant, publiés entre 1996 et 2010.
Dans une déclaration écrite déposée devant la Haute Cour avant le procès, le prince Harry, qui s’est rendu à Londres, sans Meghan Markle restée à Los Angeles avec leurs, enfants, affirme que les actions du Daily Mirror ont eu un impact durable sur tous les aspects de sa vie.
Le second fils de Charles III déclare : "J’avais l’impression de ne pouvoir faire confiance à personne, ce qui est une sensation terrible, surtout à un jeune âge."
Ces articles auraient causé une "énorme paranoïa" qui aurait affecté ses relations avec ses proches.
Parmi les révélations de l’époque faites par le tabloïd, l’une d’elles a profondément marqué le prince. Alors âgé de 18 ans, Harry était en couple avec Chelsy Davy , sa première petite amie officielle.
"C’est devenu le sujet de moqueries."
Au cours de cette relation, il a contracté la mononucléose, une maladie bénigne mais très fatigante. Le Daily Mirror avait alors titré que Harry avait attrapé "la maladie du bisou" (un surnom de la mononucléose qui peut être transmise par un baiser).
Vingt ans plus tard, le duc de Sussex n’a toujours pas digéré cette offense, comme en témoigne son témoignage. "Toute l’école semblait être au courant, personne ne voulait s’approcher de moi. Devenu l’objet de moqueries, j’étais profondément malheureux », a-t-il déclaré.
Cette révélation apporte également la preuve, selon lui, que le Daily Mirror utilisait des méthodes illégales pour obtenir des informations aussi privées.
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