Le prince Harry a effectué une visite éclair au Royaume-Uni pour se rendre au chevet de son père, le roi Charles III, atteint d’un cancer. Une rencontre brève et teintée de tensions, selon plusieurs sources. Meghan Markle quant à elle serait indésirable.
C’est le 5 février dernier que le roi Charles III a annoncé son diagnostic de cancer, provoquant une onde de choc au sein de la famille royale et du Royaume-Uni.
Aussitôt informé, le prince Harry, qui réside désormais aux États-Unis avec son épouse Meghan Markle et leurs deux enfants, a pris l’avion pour Londres afin de soutenir son père.
Leur rencontre, qui s’est déroulée à Clarence House, la résidence officielle du prince Charles, n’aura duré que trente minutes, comme le "Mirror". Un timing serré qui a surpris et interrogé plus d’un. Et la raison de la brièveté de cette visite est précisée
Des assistants trop zélés ? Pour le tabloïd britannique, cela ne fait aucun doute. Les assistants du roi Charles III auraient sciemment limité la durée de la visite du prince Harry. La raison ?
La crainte que le duc de Sussex ne se joigne ensuite au couple royal à Sandringham, où le roi a décidé de se reposer durant son traitement.
"La crainte était que s’il allait à Sandringham, ils ne pourraient jamais se débarrasser de lui", a confié une source au "Mirror". Il y aurait aussi la crainte que Meghan Markle le rejoigne.
Malgré ce contexte tendu, le duc du Sussex a tenu à exprimer sa gratitude d’avoir pu revoir son père, même brièvement.
« J’aime ma famille. Le fait que j’aie pu prendre l’avion pour aller le voir et passer du temps avec lui, je lui en suis reconnaissant », a-t-il déclaré lors d’une interview télévisée accordée à ABC News.
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