Marion Cotillard, a apporté son "soutien absolu" au mouvement Les Soulèvements de la Terre, dissous par décret gouvernemental le 21 juin. Mais ses prises de position ne font pas l’unanimité, car derrière cette défense fervente se cache un paradoxe qui suscite la controverse. Et à terme, elle pourrait renoncer à ses voyages en jet privé avec Guillaume Canet. Leurs allers-retours à Los Angeles limités ?
Sur Instagram, Marion Cotillard a déclaré : "Ceux qui alertent sur la dangereuse dérive de notre monde et de notre humanité, les activistes qui réclament des mesures gouvernementales à la hauteur de l’urgence, sont aujourd’hui qualifiés de criminels ou d’écoterroristes. [...] La dérive sécuritaire de ce gouvernement, associée à son incapacité à nous protéger des conséquences du changement climatique, est effrayante". Des mots forts qui n’ont pas manqué de faire réagir les internautes.
En effet, de nombreux commentaires ont pointé du doigt les contradictions de l’actrice. Ils ont souligné ses voyages en avion fréquents ainsi que son partenariat avec des marques de luxe peu réputées pour leur engagement écologique. Marion Cotillard soutient-elle réellement les écolos radicaux ou s’agit-il d’une image façade ? Les critiques fusent et la magazine Public ne manque pas de révéler son empreinte carbone conséquente.
La femme de Guillaume Canet est incontestablement une personne très sollicitée. Ses nombreux déplacements en avion ne passent pas inaperçus, rappelle la publication Malgré ses déclarations sur les jets privés réservés aux "extrêmes obligations", Marion Cotillard passe une grande partie de son temps dans les airs.
Et avec l’acquisition de sa résidence à Los Angeles récemment, un immense nid à 5 millions, les voyages s’accumulent. Face aux critiques, la séduisante brune et le père de ses enfants, des déplacements pourraient être limités. Elle en parlait elle-même dans les colonnes de Marie-Claire, où elle balançait sur Kylian Mbappé.
Entre le Met Gala à New York, le Festival de Cannes et les allers-retours à Paris pour retrouver ses enfants, tout cela en moins de deux mois, « il faudrait planter une véritable forêt pour compenser son empreinte carbone. Le paradoxe est flagrant et fait grincer des dents ».
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