Marine Le Pen aurait déjà été humiliée par sa nièce, Marion Maréchal-Le Pen et par son propre père qui aurait pris le parti d’Eric Zemmour, et ce serait aussi le cas des cadres de Rassemblement National. Ils lui tourneraient le dos.
Hors de question cependant pour la candidate à la présidence de la République d’abandonner le combat.
« Couper la voie. Marine Le Pen n’entend pas être le Hollande d’Eric Zemmour. Elle n’envisage pas un instant de se retirer. Au contraire, elle reprend du poil de la bête », rapporte « L’Opinion », affirmant qu’au sein de son parti, certains cadres de l’entendent pas de cette oreille, et espéreraient qu’elle se retire au profit du polémiste de l’extrême droite.
Si ce dernier continue sa percée dans les sondages, et qu’il arrive à 20 %, la question du retrait de sa candidature à la présidence de la République pourrait se poser.
« Nos dépenses pourraient être remboursées. On fait une campagne low cost », ajoute un autre. Il faut aussi penser au parti, criblé de dettes ».
« Un accord pour les législatives pourrait nous permettre d’avoir du financement public. Si on n’est pas au second tour, on aura aucun député. ».
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