« Avant, je travaillais tout le temps. Maintenant, il m’arrive de dire stop, de prolonger les week-ends, de rentrer chez moi et de poser mon portable pour ne le retrouver que le lendemain. (...) Je suis très casanière, peu mondaine. Eu surtout, désormais, je fais ce que je veux, comme je veux, quand je veux », explique la journaliste avant de parler de son fils.
Elle espère que celui-ci aimera l’école, contrairement à elle.
« Je souhaite de tout mon coeur, pour lui, que mon fils aime l’école. Mais si ce n’était pas le cas, je gérerais comme mes parents l’ont fait avec moi, sans en faire un problème. Ils ne m’ont jamais mis la pression », a-t-elle indiqué.
« Ils m’ont offert le plus beau cadeau : les clés de l’indépendance, du courage, et la confiance nécessaire pour s’épanouir », fait-elle savoir.