Charlotte Casiraghi : Nicolas Mathieu marqué par son divorce
Si Nicolas Mathieu semble épanoui dans sa nouvelle relation avec Charlotte Casiraghi, les échos de son divorce précédent continuent de résonner.
Keyn et Jennifer (MAPR 2025) : une compatibilité à 80% et un lourd secret
Keyn, 31 ans, a conquis les expertes Estelle Dossin et Marie Tapernoux, et fait partie des célibataires de cette nouvelle saison de l’émission de M6. Et il pourrait conquérir Jennifer avec laquelle il a plus de 80% de compatibilité.
Très proche de sa grand-mère, c’est à ses côtés qu’il a appris sa participation à l’expérience. Face caméra, il a confié a fait part de ses attentes.
« J’ai besoin d’une femme qui soit confiante, sociable, joyeuse, spontanée, solaire et qui soit drôle ! J’ai envie d’être généreux avec ma femme. Sur l’échelle de Keyn, c’est la faire passer avant moi sur tout », explique-t-il.
Pompier passionné, ce candidat cherche une femme qui puisse le ramener sur terre.
« Dans mon métier de pompier ce qui me plaît le plus c’est surtout de me dire que je suis utile aux gens », révèle-t-il dans le cadre de rendez-vous dating de M6.
Sportif accompli, Keyn aime prendre soin de son corps. "Le sport en tout genre, ça me permet de me surpasser et de me défouler", explique-t-il. "Je suis un hyperactif. J’ai toujours été un gars qui va à 200 à l’heure. Je suis un peu casse-cou. Depuis tout petit, je fonce."
Côté cœur, Keyn a des critères bien précis. "Ce qui me ferait craquer ce serait les yeux et le beau sourire", confie-t-il. "Pour moi le physique c’est important, c’est la vitrine. Dans le couple idéal, je verrai qu’on s’apprécie physiquement, qu’on s’entende bien et que sexuellement ça soit patate ! Toute la journée j’ai envie de faire l’amour avec encore et encore, que ça ne s’arrête pas !"
Mais derrière cette façade de séducteur se cache une histoire douloureuse. La mère de Keyn est atteinte de la maladie de Huntington, une maladie génétique dégénérative.
"C’est une maladie où toutes les cellules nerveuses arrêtent de se régénérer. Du coup on perd toutes les facultés cognitives", explique-t-il, ému.
Keyn, qui a longtemps vécu dans la peur d’être porteur de la maladie, a récemment appris qu’il était sain. "À cause de ça pendant plusieurs années je ne me livrais pas. Je m’engageais pas dans mes relations. J’ai longtemps été solitaire. (...) J’avais ces envies de famille mais je pensais ne pas y avoir droit", a-t-il admis.
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