Qui n’a jamais ressenti un nœud au ventre avant un grand événement ? Kate Middleton n’y a pas échappé. Lors de l’annonce officielle de ses fiançailles avec le prince William, la future princesse a laissé transparaître une certaine nervosité.
Cet épisode est rappelé par un média allemand. La princesse de Galles avait perdu son sang froid lors d’une interview, et l’héritier du trône a été amené à l’apaiser et à la rassurer.
Les images de cette interview accordée à ITV sont devenues cultes. On y voit une Kate Middleton visiblement émue, les mains tremblantes, aux prises avec une excitation palpable.
Son futur époux, le prince William, s’est empressé de la rassurer, consciente de la pression qui pesait sur ses épaules.
Dans cette même interview, la princesse de Galles, qui a fait une apparition à l’occasion du Dimanche de souvenir, alors qu’elle n’aurait pas terrassé le cancer, s’est confiée sur leur première rencontre, une anecdote qui en dit long sur leur complicité.
« J’étais rouge vif et je me suis enfuie ! », a-t-elle avoué avec humour. Loin de l’image parfaite qu’on pourrait se faire d’elle, Kate Middleton a montré sa vulnérabilité, rendant, comme le précise le média allemand, son histoire encore plus attachante.
En 2001, Kate Middleton, on le rappelle, opte pour un choix stratégique en s’inscrivant à l’université de St Andrews, en Écosse.
Loin d’être un hasard, cette décision a été mûrement réfléchie.
Comme l’a souligné le biographe royal Robert Lacey, Kate Middleton a délibérément écarté l’université d’Édimbourg, pourtant prestigieuse, pour se tourner vers St Andrews.
"Ce choix, bien qu’étonnant, s’explique par une volonté de se rapprocher du prince William, qui y étudiait également. En retardant son entrée d’un an, Kate a tout mis en œuvre pour croiser le chemin de son futur époux."
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