Kate Midd­le­ton, en guerre contre la dépres­sion post-natale

A l’occasion de cette visite, l’épouse du prince William était allée à la rencontre des experts menant des recherches portant sur la psychia­trie péri­na­tale.

Et elle a par la suite effectué un bref passage à l’unité mère-enfant de l’hôpi­tal Beth­le­hem Royal, spécia­li­sé dans le trai­te­ment de la dépres­sion post­-na­tale et de la psychose post-partum.

Cette terrible maladie, la duchesse de Cambridge a dû aussi y composer lorsqu’elle a mis au monde le petit George.

Et elle ne manque jamais l’occasion d’en parler pour encourager les femmes à briser le silence sur leurs souffrances.

L’épouse du prince William avoue avoir confrontée au fait de « manquer de confiance en elle » et des « senti­ments d’igno­rance ».

« Person­nel­le­ment, deve­nir mère a été une expé­rience telle­ment enri­chis­sante et merveilleuse », tient-elle cependant à préciser.

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