Alors que son dernier film, "Des mains en or", est projeté dans les salles obscures, Isabelle Mergault se confie sur son quotidien empli de tourments.
Longtemps gardé secret, ce calvaire qui la tourmente en silence trouve enfin une voix à l’âge de 65 ans, rapporte le magazine France Dimanche.
En 2017, l’actrice avait déjà laissé échapper un témoignage glaçant. "J’ai voulu mourir", avait-elle avoué, révélant qu’elle avait été retrouvée inconsciente par sa femme de ménage.
"J’avais 29 ans. Je crois que j’ai voulu éliminer la personne que j’étais pour renaître..." Malheureusement, aujourd’hui, ce "double moi", cette autre « entité née de cette tentative de suicide ratée qui a su conquérir le public en tant qu’actrice, réalisatrice et auteure à succès », semble renouer avec les vieux démons de l’ancienne Isabelle.
Rongée par un terrible handicap, « elle s’enferme de plus en plus sur elle-même, créant une bulle protectrice qui lui procure un semblant de paix », indique la publication.
Isabelle Mergault, qui s’est récemment portée au secours de Pierre Palmade au fond du seau, souffre en effet d’hodophobie, une peur de voyager. La complice de Laurent Ruquier répugne à parcourir le monde ! Alors que la plupart des gens associent le voyage au plaisir et à l’évasion, pour elle, comme pour tous les hodophobes, il est synonyme de stress et d’anxiété.
Un véritable frein pour la réalisatrice qui pourrait être amenée, par exemple, à se rendre à l’étranger pour présenter son quatrième long métrage, "Des mains en or", actuellement en salles depuis le 7 juin. "Je rêve de partir à la découverte de la Thaïlande et d’autres contrées lointaines, mais j’ai une phobie des voyages : l’inconnu me terrifie... J’aurais besoin d’un mari bienveillant qui me prendrait par la main et s’occuperait de tout", a-t-elle confessé avec sincérité.
Espérons qu’un homme « providentiel se présente rapidement pour entraîner cette casanière pathologique dans des aventures trépidantes au-delà de nos frontières ».
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