Matthieu Delormeau hospitalisé en secret ?
Depuis sa garde à vue le 1er juillet dernier, Matthieu Delormeau, l’ex-chroniqueur de "Touche pas à mon poste !" vit des moments particulièrement difficiles.
Insomnies, bouffées d’angoisse, cette décision d’Emmanuel Macron qui bouleverse tout
La décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée Nationale a suscité une vague d’anxiété parmi beaucoup de personnes. Ce choix, inattendu et dramatique, a plongé de nombreux Français dans une profonde incertitude, exacerbant des sentiments d’angoisse et de stress.
Les professionnels de la santé mentale constatent une augmentation des consultations liées à l’anxiété depuis l’annonce présidentielle.
Et ils livrent leurs analyses dans les colonnes du Parisien. Christine Barois, psychiatre à Paris, confirme ce phénomène.
« beaucoup de mes patients me disent que le président les précipite vers l’anxiété. Le message envoyé par Emmanuel Macron a été en quelque sorte : ‘Je n’en peux plus, démerdez-vous !’ En plus, il était habillé en noir pour une fois, et pas en bleu. Il avait une tête d’enterrement et la posture d’un croque-mort venant nous annoncer un drame. C’était très violent. », a précisé cette spécialiste.
La culpabilité est également un sentiment omniprésent chez certains. Gladys Mondière, thérapeute.
« J’ai une patiente qui venait d’apprendre qu’elle était atteinte d’une maladie grave. Elle ne s’est pas déplacée pour aller voter et depuis, elle culpabilise. », indique cette praticienne.
Les symptômes décrits par ces patients sont variés, allant des insomnies aux bouffées d’angoisse, en passant par des sueurs nocturnes.
L’impact psychologique de cette décision est particulièrement fort au sein de la communauté LGBT. Une psychanalyste du nord de Paris, souhaitant garder l’anonymat, fait état de cette insécurité.
« Les résultats de dimanche ont eu un énorme impact sur la psychologie des Français », déclare-t-elle. Je reçois beaucoup de patients issus de la communauté LGBT qui se sentent en insécurité. Dès lundi, une personne lesbienne qui réfléchit à devenir mère m’a dit avec beaucoup d’angoisse que si le RN passait, elle abandonnerait son projet de maternité. ».
De son côté, le président assume totalement sa décision.
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