Ils s’étaient rencontrés dans les locaux des éditions Vogue.
« Il était assistant de celui qui est devenu notre éditeur commun, Jacques Wolfsohn chez Vogue, il revenait du service militaire il avait la tête rasée, il avait des lunettes de myopes avec des verres très épais et puis je crois qu’il avait pas mal de boutons », se rappelle-t-elle.
« Je n’ai pas du tout fait attention à lui, j’ai fait attention à sa laideur à ce moment-là », se rappelle la chanteuse.
Cette déclaration, les chroniqueurs de l’émission n’ont pas manqué de la commenter.
« C’est une belle déclaration », ont lancé les chroniqueurs.
Françoise Hardy les invite alors à regarder les photos de l’époque qui « témoignent que je n’ai pas exagéré les choses ».