Jeudi dernier, Emmanuel Macron s’est prêté au jeu des questions-réponses sur Snapchat, occasion de répondre à toutes les questions, même les plus intimes.
« J’ai un peu craqué sur ma prof de droit pénal, que dois-je faire ? », a demandé un étudiant.
Le leader d’En marche ne se défile pas.
« Eh bien d’abord, il faut savoir si c’est réciproque. Si c’est le cas, allez-y, pas de tabou. Si ce n’est pas le cas, interrogez-vous », répond celui qui a 24 ans d’écart avec sa femme dont il est tombé amoureux au lycée, alors qu’elle était sa professeure de théâtre.
">20 avril 2017Emmanuel #Macron répond aux utilisateurs de #Snapchat "sans tabou" (et même aux questions perso) pic.twitter.com/DEHgyovAZI
— Clémence Apetogbor (@Clem_Apetogbor) https://twitter.com/Clem_Apetogbor/status/855037435843162112
La première fois que Brigitte Macron a entendu parler de son futur mari, c’est par l’intermédiaire de sa fille Laurence.
« Il y a un fou dans ma classe qui sait tout sur tout ?! », lui avait-elle lancé.
Contrairement à ce qui est supposé, elle n’a jamais eu Emmanuel Macron dans sa propre classe comme élève.
Elle l’a connu dans le club de théâtre qu’elle anime et se rappelle d’un ado décontracté.
« Je ne l’ai jamais vécue comme une transgression, confie-t-elle. Je ne l’ai jamais considéré comme un élève ».
Lorsque leur complicité a été ébruitée, Emmanuel Macron est éloigné par ses parents du lycée de La Providence. Il suivra la classe de terminale à Henri-IV à Paris.
« Vous ne vous débarrasserez pas de moi, je reviendrai et je vous épouserai ?! », lui avait alors rétorqué.
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