Si finalement, Charlène de Monaco a jeté l’éponge et a renoncé à sa participation à la Fête Nationale monégasque, ce serait en raison de la pression. Il était prévu qu’elle prononce un discours.
« Alors que Charlène, qui a séché ses dix ans de mariage, se prépare à une opération reconquête », rapporte ce 17 novembre dernier, avant de rappeler que le prince Albert de Monaco avait promis la présence de son épouse pour la fête nationale monégasque le 19 novembre.
Mais au final, elle sera absente.
La pression était trop forte. Certains auraient exigé d’elle qu’elle prenne la parole. « Tous l’espèrent », indique l’hebdomadaire.
« Il lui faudra en tout cas beaucoup de courage pour affronter les regards qui seront braqués sur elle », a prédit la publication, qui ignorait la décision de l’annulation de sa présence à la fête au moment de mise sous presse.
Le magazine Voici semblait douter de sa fragilité.
« Elle est sevrée depuis sept semaines, mais assez fébrile à l’idée de devoir affronter la vie qu’elle a voulu fuir, avec son cortège d’obligations et de pressions », a confié une source proche de la famille. « L’approche de la fête nationale monégasque, le 19 novembre, la terrifie. Elle n’a jamais vraiment aimé cet événement ».
Une rechute serait crainte et une séparation pourrait annoncer avant la fin de l’année.
« En attendant, elle va rester au calme et réfléchir à la suite. Un nouveau départ ? ».
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