Depuis sa tendre enfance, le prince Albert de Monaco, l’heureux mari de Charlène de Monaco, souffrait d’un terrible handicap. Et s’il a réussi à mettre fin, ce serait grâce à la mère de ses jumeaux.
Le magazine « France Dimanche », a rappelé que le prince souverain de Monaco a été aux prises durant depuis son enfance d’un mal « handicapant » qui a compliqué ses engagements protocolaires. Il s’agit du bégaiement, supposé avoir été provoqué par son père, le prince Rainier, qui était trop « exigeant ». Le rythme d’activité trop intense ainsi que sa rivalité avec son ainée, la princesse Caroline de Monaco, auraient accentué « son mal ».
Une nette amélioration aurait été observée depuis son union avec Charlène de Monaco.
Peu temps après leur mariage, le prince avait prononcé « un discours à l’ONU » en présence des grands de ce monde, et notamment du président américain de l’époque, Barack Obama.
Ce jour là, Charlène de Monaco était en coulisses.
« J’ai écouté son discours, bravo à lui, il a parfaitement maîtrisé son défaut d’élocution, car cela doit être assez impressionnant devant cette assemblée », était-il commenté à l’époque. Il prononçait son discours juste après « l’Emir du Qatar, et le président de l’Afrique du Sud.
« La fluidité de sa diction » avait été soulignée. Il semblait « serein ».
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