Le magazine Paris Confidences alimente des rumeurs troublantes sur Charlène de Monaco, laissant entendre qu’elle pourrait faire face à un mal mortel.
Pourtant, à l’intérieur des pages, rien n’est mentionné concernant une maladie grave, mais plutôt sa personnalité complexe.
Depuis plusieurs mois, ceux qui connaissent la princesse Charlène de Monaco tentent de percer les mystères entourant sa personnalité. Les témoignages dépeignent une femme bien plus "iconoclaste" qu’on ne le pensait, refusant catégoriquement de suivre les pas de Grace Kelly, sa regrettée belle-mère, ou de Kate Middleton, l’épouse du prince William.
Elle l’a prouvé par son audacieuse coiffure punk avec la tête rasée il y a deux ans, témoignant de son goût pour la contre-culture.
Parfois, la maman de Jacques et Gabriella est apparue en public avec les larmes aux yeux. Pour Joel Stratte-McClure, spécialiste qui s’est confié au New York Times, Grace Kelly a également traversé une période difficile durant les premières années de son mariage , comparable à ce que traverserait Charlène de Monaco aujourd’hui.
Un proche du clan Grimaldi souligne que l’épouse du prince Albert a toujours dégagé une aura de détachement total par rapport à l’opinion des autres ou une souffrance dissimulée. Elle reste difficile à cerner et indéchiffrable, bien loin des stéréotypes de femmes trophées ou d’intrigantes souvent rencontrées à Monaco.
Les doutes et les questionnements « persistent autour de la princesse, entre fascination et inquiétude pour son avenir ».
e Paris Confidences alimente des rumeurs troublantes sur Charlène de Monaco, laissant entendre qu’elle pourrait faire face à un mal mortel.
Pourtant, à l’intérieur des pages, rien n’est mentionné concernant une maladie grave, mais plutôt sa personnalité complexe.
Depuis plusieurs mois, ceux qui connaissent la princesse Charlène de Monaco tentent de percer les mystères entourant sa personnalité. Les témoignages dépeignent une femme bien plus "iconoclaste" qu’on ne le pensait, refusant catégoriquement de suivre les pas de Grace Kelly, sa regrettée belle-mère, ou de Kate Middleton, l’épouse du prince William.
Elle l’a prouvé par son audacieuse coiffure punk avec la tête rasée il y a deux ans, témoignant de son goût pour la contre-culture.
Parfois, la maman de Jacques et Gabriella est apparue en public avec les larmes aux yeux. Pour Joel Stratte-McClure, spécialiste qui s’est confié au New York Times, Grace Kelly a également traversé une période difficile durant les premières années de son mariage , comparable à ce que traverserait Charlène de Monaco aujourd’hui.
Un proche du clan Grimaldi souligne que l’épouse du prince Albert a toujours dégagé une aura de détachement total par rapport à l’opinion des autres ou une souffrance dissimulée. Elle reste difficile à cerner et indéchiffrable, bien loin des stéréotypes de femmes trophées ou d’intrigantes souvent rencontrées à Monaco.
Les doutes et les questionnements « persistent autour de la princesse, entre fascination et inquiétude pour son avenir ».
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