Camille Muffat n’en pouvait plus de la compétition

« C’est un choix de maturité, ma décision la plus adulte » disait-elle, rappelle dans son édition du 13 mars le magazine « Closer ».

« Fan d’aventure et du dépassement de soi, la championne de natation aimait « (son) chat, faire les magasins, aller au resto avec (son) copain, aller voir (ses) parents le dimanche », comme n’importe quelle jeune femme de 25 ans, poursuit l’hebdomadaire.

Camille Muffat « a eu cette chance d’avoir une vie fantastique et qui s’arrête trop vite », comme le rappelait d’ailleurs son père, Guy « dont la dignité devant les caméras de télé forçait le respect ».

« La France pleure l’une de ses grandes championnes » conclut le magazine.

« Public » met également à l’honneur la championne, rappelant que cette dernière n’en pouvait plus de la compétition.

La nageuse avait fait ses premières longueurs à l’âge de 7 ans. A 10 ans, elle « montrait déjà un gros
potentiel ».

A 15 ans, elle était même « montée » en cadence : de 7 à 8 heures par jour. Les deux dernières années de sa carrière, elle nageait 15 km par jour. « Et ce 7 jours sur 7 à certaines périodes ».
La niçoise rêvait de passer à autre chose.