Durant la campagne présidentielle, lorsque les rumeurs sur l’orientation sexuelle d’Emmanuel Macron ont commencé à circuler, Brigitte Macron était pétrifiée. Elle n’en en aurait pas dormi de la nuit. Un moment, elle aurait été saisie par le doute.
Cette période trouble, il en a été dans « France Actu », qui a repris une révélation des auteurs de « Mimi », en référence à Mimi Marchand, la patronne de l’agence Bestimage. La reine des paparazzi aurait géré dans l’ombre la communication présidentielle.
Coécrit notamment par Jean-Michel Décugis et Pauline Guena, cet ouvrage est édité chez Grasset.
’Brigitte ne trouve plus le repos. Cela l’obsède. Elle en parle à tout le monde. Elle souhaiterait que son mari prenne position publiquement, qu’il affirme son amour pour elle’, indiquent les auteurs.
L’ex-professeure de français aurait craint qu’un bruit sur une prétendue homosexualité de son mari lui coûte la présidentielle. Mais elle aurait aussi voulu que le silence soit brisé pour des raisons intimes. Brigitte Macron n’aurait pas supporté l’idée que sa relation avec l’homme qui partage sa vie depuis une dizaine d’années soit mise en doute.
Le pire, c’est que le première dame aurait jugé crédible la rumeur sur l’existence des clichés « compromettante » de son époux « pris
boulevard du Montparnasse ».
« Brigitte est persuadée qu’elles existent bien, elle dit qu’Emmanuel est tactile et qu’il est facile de faire dire n’importe quoi à une image », est-il indiqué.
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