Mobilisée pour son Emmanuel Macron dans la perspective de la présidentielle de 2022, Brigitte Macron risquerait d’être froissée par une salve d’Enora Malagré, l’ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste sur C8.
« Et pendant ce temps... Il ne pense qu’à séduire les extrémistes pour s’assurer leurs votes pour la présidentielle... Honte », lâche-t-elle sur Instagram, en référence au discours du Président de la république sur les réfugiés afghans.
Il est reproché à Emmanuel Macron son manque de mobilisation l’endométriose, une maladie gynécologique, qui complique son quotidien depuis de nombreuses années.
« Pour nous, l’été, c’est vraiment la pire des pires des périodes. Parce qu’évidemment, pour tout le monde, et pour nous en particulier, le tampon plus la mer ou la piscine, ce n’est pas possible », a-t-elle écrit sur son réseau social, où elle est très présente.
« ?Au tout début, je me souviens des douleurs de règles qui, au fil des mois, devenaient de plus en plus intolérables : les coups de couteau dans les reins… les cris dans le crâne… le corps entier qui hurle à la recherche d’un peu de fraîcheur ? », disait-elle à propos de la maladie.
pour son Emmanuel Macron dans la perspective de la présidentielle de 2022, Brigitte Macron risquerait d’être froissée par une salve d’Enora Malagré, l’ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste sur C8.
« Et pendant ce temps... Il ne pense qu’à séduire les extrémistes pour s’assurer leurs votes pour la présidentielle... Honte », lâche-t-elle sur Instagram, en référence au discours du Président de la république sur les réfugiés afghans.
Il est reproché à Emmanuel Macron son manque de mobilisation l’endométriose, une maladie gynécologique, qui complique son quotidien depuis de nombreuses années.
« Pour nous, l’été, c’est vraiment la pire des pires des périodes. Parce qu’évidemment, pour tout le monde, et pour nous en particulier, le tampon plus la mer ou la piscine, ce n’est pas possible », a-t-elle écrit sur son réseau social, où elle est très présente.
« ?Au tout début, je me souviens des douleurs de règles qui, au fil des mois, devenaient de plus en plus intolérables : les coups de couteau dans les reins… les cris dans le crâne… le corps entier qui hurle à la recherche d’un peu de fraîcheur ? », disait-elle à propos de la maladie.
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