Cette semaine, l’homme d’affaires s’est longuement livré dans « Le Divan », l’émission confidence de Marc-Olivier Fogiel sur France 3.
Pour l’occasion, l’ex ministre de la ville sous la présidence de François Mitterand est revenu sur ses années galères. Il avait accumulé les déboires judiciaires.
« Plus le droit de faire de sport, plus le droit de faire de politique, plus le droit de faire d’affaires, ils m’avaient même interdit le droit de paternité », se rappelle Bernard Tapie.
Et alors qu’il était déjà au fond du trou, il voyait ses enfants revenir en pleurs de l’école, moqués par leurs camarades de classe.
« ça ne pouvait pas durer » confie-t-il.
Il a songé à passer à l’acte, mais son épouse a pensé à cacher son pistolet.
Elle « avait prévu le coup, donc ça ne s’est pas fait ».
Mais « si ça se trouve, je l’aurais pas fait, poursuit-il, mais il se trouve qu’il n’y était pas (le pistolet, ndlr), donc ça s’est pas fait ».