« De Bernard Tapie, on connaît les coups d’éclat, les prises de bec, les combats, les mandats politiques et les affaires judiciaires », rapporte le magazine Closer, qui annonce un projet de sa veuve, Dominique.
De son agression, Bernard Tapie a décidé d’en parler dans le 20 heures de TF1, et accepté d’en dire plus sur les agresseurs, qui étaient plein de haine, surtout dans leur façon de parler. Il a senti qu’il était une "personne à abattre".
« La seule façon d’arriver à passer au-dessus de cet événement, c’est surtout de pas en faire un souvenir », a confié l’homme d’affaires à propos de l’agression dont il a été victime avec sa femme Dominique, une agression consécutive au cambriolage de leur maison en région parisienne.
Si Bernard Tapie a réussi à surmonter le traumatisme en se focalisant sur son combat contre la maladie, on ne peut pas en dire autant de son épouse , qui a du mal à dormir la nuit. Durant près d’une heure, elle a été trainée par les cheveux par les agresseurs. Elle suit une psychothérapie depuis.
« Elle a beaucoup de mal à revivre cet événement toutes les nuits, si ça ne vous dérange pas, j’aimerais bien qu’on en parle pas », a-t-il indiqué à Gilles Bouleau, avant de livrer des confidences sur ses agresseurs.
« Dans ce que j’ai vu, la seule chose que je veux me permettre de dire, c’est qu’il y avait une haine dans leur façon de parler, de dire, de faire : ‘ta gu**le !‘. C’était pas ‘tais-toi’, c’était ‘ta gueule !’. On sentait qu’on était quelqu’un à abattre », a-t-il indiqué.
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