« J’ai eu la chance de connaître les dernières années d’une télévision bon enfant. Je n’aime pas ce que sont devenus certains talks shows avec des faux happenings, avec des tribunaux populaires, avec des gens qui se font dézinguer", déclaré l’humoriste, en référence à Cyril Hanouna avec lequel il s’était écharpé dans le passé. Il l’avait qualifié de drogué. Un bagarre a même été évitée dans les coulisses d’une émission de Canal Plus.
"Moi, j’ai souffert de la petite phrase qui est extraite de son contexte. Donc, je préfère ne pas faire ça », a-t-il ajouté dans cette émission de France 5.
Il ferait référence à Gilles Verdez, chroniqueur de TPMP qui balançait en décembre dernier sur les supposés ennuis de financiers d’Ary Abittan.
« Depuis l’éclatement de l’affaire, il a de gros soucis financiers, notamment à cause de ses spectacles et des films. Il a changé d’appartement, certes pour échapper à la pression médiatique, mais aussi parce qu’il ne peut plus payer son loyer », lançait-il.
Claire Chazal avait aussi dénoncé les jugements populaires dans un entretien accordé à Télépro.
« Je suis malheureusement surprise par l’époque dans laquelle nous vivons. Cela consiste à jeter en pâture des noms, à les condamner définitivement sans même que la justice soit intervenue », regrettait-elle.