Anne-Élisabeth Lemoine s’affiche hyper complice avec Bertrand Chameroy, son chroniqueur dans C à Vous sur C8, alors qu’elle est mariée avec Philippe, le père de son second fils, c’est peut-être qu’elle ne veut rien rater de la vie. Pas question de perdre une minute après avoir été marquée par un épisode traumatique survenu durant son enfance.
Elle en avait parlé dans une prise de parole auprès de Psychologies.
L’animatrice, affichée en Une par Voici, qui révèle sa relation amoureuse avec son chroniqueur , avait partagé un épisode marquant de son passé qui a profondément influencé sa perception de l’existence.
Lors d’une prise de parole auprès de Psychologies, elle a révélé un traumatisme survenu durant son enfance qui continue de la hanter.
À l’âge de 10 ans, Anne-Élisabeth Lemoine était une petite fille pieuse qui prenait l’habitude de faire sa prière chaque soir avant d’aller se coucher. Mais un soir, en 1981, alors qu’elle était plongée dans sa routine spirituelle, une voix résonna dans son esprit, lui annonçant de manière troublante : « Tu vas mourir le 11 mai 1982 ! »
Prise de frayeur, la jeune Anne-Élisabeth descendit rapidement voir son père pour lui faire part de cette prédiction terrifiante. Malheureusement, plutôt que de la rassurer et de la réconforter, son père se contenta de lui dire : « Va faire une prière ! », ne prenant pas au sérieux la détresse de sa fille. Cette réaction laissa Anne-Élisabeth Lemoine dans un état de terreur pendant un an entier, redoutant l’approche du 11 mai 1982 comme jamais auparavant.
Elle se persuadait même qu’elle ne survivrait pas à l’anniversaire de sa sœur aînée, qui tombait le 13 mai.
Cet épisode traumatique a laissé une empreinte indélébile sur le fonctionnement mental d’Anne-Élisabeth Lemoine, mais aussi sur sa façon d’appréhender la vie. Elle confie : « Sérieusement, c’est un épisode assez fondateur dans mon fonctionnement mental et dans la façon dont j’envisage l’existence. La mort est une réalité. Je pense à elle, tous les jours. C’est ma façon de m’y préparer. Mais je ne traîne pas cette pensée comme un boulet. Je suis d’un naturel joyeux. Me lever le matin est un bonheur. ».
C’est peut-être la raison pour laquelle elle cultive une attitude positive, appréciant chaque instant de la vie, comme ses petites virées avec son chroniqueurs.
Ces articles devraient vous intéresser :
