Le 22 février, Vincent Zulawski était aux côtés de sa mère Sophie Marceau pour faire ses adieux à son père, le réalisateur polonais Andrzej Zulawski, lors de ses funérailles qui se sont déroulées près de Varsovie.
Et quelques jours après ce triste événement, le jeune homme de 20 ans se livre dans les colonnes du magazine « Paris Match », où il évoque notamment le jour où il a appris que son père allait être emporté par un cancer, qui lui aurait été diagnostiqué en septembre dernier.
« Il m’a appelé, j’ai entendu le timbre de sa voix et j’ai compris », s’est rappelé le jeune édutiant de 20 ans. C’était un homme fier et sans concessions. Je savais qu’il n’allait pas se soigner, qu’il allait foncer vers la mort. Il est resté libre jusqu’au bout ».
Ce propos est conforté par le frère de Vincent, Xawery, qui explique de son côté que son père « détestait la médecine » et que personne « n’allait lui dire comment se comporter ». « C’est difficile de faire des adieux aussi brutaux. Moi j’habite en Pologne, donc j’ai pu le voir tous les jours, et en profiter jusqu’à la fin. Pour mes frères, c’est différent puisqu’ils vivent à l’étranger », assure le jeune réalisateur qui a collaboré avec son père dans le film « La Note bleue », dans lequel Sophie Marceau tenait la tête d’affiche.
« Il me faisait rire, je l’ai toujours vu rigoler. C’est comme ça que j’ai envie de me souvenir de lui », explique par ailleurs Vincent, qui suit des études aux Etats-Unis, après avoir suivi une partie de sa scolarité à Londres.
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