Vanessa Paradis se serait livrée non seulement sur sa fille, Lily-Rose, qui a choisi le cinéma comme métier, mais aurait fait aussi allusion à Johnny Depp.
C’est en marge d’un entretien accordé au magazine Madame Figaro, où elle évoque surtout son coup de cœur pour Marilyn Monroe et Romy Schneider, brûlées par le cinéma.
« Par la vie, plutôt, même si le cinéma n’a pas dû arranger les choses. Ce sont deux femmes qui ont vécu des vies, des enfances et des amours compliquées. », a expliqué la star de 49 ans, qui a fait une apparition très remarquée à Monaco, à l’occasion du défilé Chanel.
Et elle se livre ensuite sur le cas Marilyn, sa grande idole.
Cet époque là, elle était marquée par des acteurs « dépendants des médicaments sans qu’on en mesure les effets désastreux sur la santé ».
Et s’elle a réussi à s’en sortir, c’est grâce à ses parents, qui été incroyable et qui lui ont donné l’amour et la confiance, l’ont entourée, accompagnée dans ses rêves.
« Je ne dis pas qu’on ne peut pas s’en sortir sans ce préalable – on peut se choisir des familles autres que la sienne —, mais c’est beaucoup plus facile de partir dans la vie en se sentant soutenue », glisse-t-elle, semblant faire allusion à Johnny Depp, qui a été élevée par une famille abusive.
Un petit clin d’œil à sa fille, une mise en garde flippante. « Être actrice, c’est terriblement déstabilisant, on vous scrute sur un écran géant, vous dépendez du désir des autres et quand on ne veut plus de vous, c’est fini », lâche-t-elle.
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