Si Valérie Trierweiler multiplie les tacles assassins à l’encontre de son ex, François Hollande, c’est surtout pour prouver qu’elle n’a pas peur, et qu’elle n’ a que faire des intimidations.
C’est ce que rapporte le magazine ’VSD’, qui affirme dans son dernier numéro que la journaliste de ’Paris Match’ n’a pas l’intention de lâcher le combat.
Dans son collimateur, le président de la république évidemment, mais surtout les collaborateurs de ce dernier, notamment Stéphane Ruet, qu’elle qualifierait de ’traître’.
En septembre 2014, cet ancien collaborateur de Valérie Trierweiler aurait montré dans ’tout Paris une vidéo tournée au Banana Café’, une boite de nuit parisienne, ’censée la faire « passer pour folle ».
’ C’est ce soir-là que Valérie Trierweiler avait eu une explication féroce avec son amie Valérie de Senneville, qui avait osé émettre des réserves sur son livre, Merci pour
ce moment’, assure VSD.
’La journaliste des Échos n’était pas encore totalement séparée de Michel Sapin, ministre des Finances et intime de Hollande, et Trierweiler s’était sentie à nouveau lâchée’, est-il indiqué.
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