Stéphane Plaza : Un message déchirant à une date symbolique
Condamné il y a peu à douze mois de prison avec sursis pour des faits de violences conjugales – une décision contre laquelle il a fait appel – Stéphane Plaza s’était montré particulièrement discret ces derniers mois. Mais ce 12 septembre 2025, l’agent immobilier est sorti du silence pour une raison très personnelle : l’anniversaire de sa mère disparue.
Figure incontournable de M6 depuis près de vingt ans, Stéphane Plaza a longtemps été associé à plusieurs émissions emblématiques de la chaîne, comme Recherche appartement ou maison, Chasseurs d’apparts ou encore Maison à vendre.
Agent immobilier de formation, il a également bâti un vaste réseau d’agences portant son nom, dont le groupe M6 est l’actionnaire majoritaire. Mais tout semble un peu effondré suite à sa condamnation pour violence conjugale. Son image a pris un sacré coup.
Mais ces derniers mois, l’image publique de l’animateur a été fortement écornée. Trois de ses anciennes compagnes l’ont accusé de violences conjugales.
À la suite de ces témoignages, et après le dépôt d’une plainte, Stéphane Plaza, récemment hospitalisé, a été condamné à une peine de prison avec sursis.
Ce verdict, qu’il conteste, a provoqué la réaction immédiate du groupe M6 : déprogrammation de toutes ses émissions en rediffusion, retrait de ses programmes de la plateforme M6+, et mesures spécifiques concernant son réseau d’agences franchisées.
Depuis, l’animateur s’était muré dans le silence, se tenant à l’écart des médias comme des réseaux sociaux.
Mais ce 12 septembre, il a publié un message émouvant sur Instagram, dédié à sa mère défunte. Accompagné d’une photo, il a écrit : « Ton sourire éclaire encore mon chemin. (…) Ton amour vit en moi, comme une étoile qui jamais ne s’éteint. Tu me manques chaque jour, et tant que mon cœur battra, je marcherai fier, portant ton éclat. »
Un hommage intime qui marque une rare prise de parole publique de la part de Stéphane Plaza, malgré la tourmente judiciaire et médiatique qui l’entoure.
