Hospitalisé pour un AVC après avoir provoqué un grave accident de voiture, Pierre Palmade avait publié un « Dites à mon père que je suis célèbre », dans lequel il raconte ses anecdotes avec Nicolas Sarkozy, l’ancien président français. Ils étaient relativement proches.
Dans un extrait de son livre, l’humoriste de 55 ans, qui risque de croupir derrière les barreaux pour avoir provoqué un accident de voiture alors qu’il était sous l’emprise de la drogue, évoque leur première conversation téléphonique en 1995, peu de temps après l’élection de Jacques Chirac en tant que président de la République.
Pierre Palmade, sous l’influence de la drogue, décide d’appeler la mairie pour parler à Sarkozy, alors maire de Neuilly.
Contre toute attente, il est mis en contact direct avec le maire de l’époque. Ils ont parlé pendant une heure et sont même devenus assez proches pour que Nicolas Sarkozy continue à prendre ses appels lorsqu’il a été nommé ministre de l’Intérieur. Selon Pierre Palmade, le mari de Carla Bruni était souvent réceptif à ses idées, même celles qui étaient élaborées pendant ses matinées de gueule de bois.
Ces histoires surprenantes révèlent un aspect différent de l’ancien président, qui est souvent perçu comme étant strict.
Dans l’ouvrage de Pierre Palmade, l’ancien chef d’Etat est décrit comme un homme avec qui il « pouvait parler facilement, sans formalités ni protocoles ».
« Je l’appelle beaucoup lors de mes matinées fatiguées. Sous coke on peut donner l’illusion d’être à jeun au téléphone et du coup j’évoque avec lui des idées qui me tiennent à cœur. Quand je ne sais plus quoi faire le matin, j’imagine », a-t-il écrit.
« Si, si. Quand vous avez fait la bringue, que vous avez pris des produits, et que vous n’avez plus de partenaire sexuel, certains se morfondent. Moi, j’ai le cerveau qui carbure. ».
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