Pierre Palmade, installé à Bordeaux, où il est soigné pour ses addictions, se confie sur son plus grand traumatisme : la mort de son père alors qu’il n’avait que 8 ans.
Dans un témoignage bouleversant, relaté dans son ouvrage « Dites à mon père que je suis célèbre », l’humoriste révèle comment il a vécu cette tragédie.
Lorsque sa mère lui annonça le décès de son père, qui était médecin, à l’âge tendre de 8 ans, Pierre Palmade ne put retenir ses larmes.
Le choc fut brutal, et il lui semblait impossible d’accepter la réalité. Les vacances d’été semblaient se dérouler paisiblement, mais cette nouvelle bouleversa tout. C’était comme si le scénario d’un film de Walt Disney prenait une tournure inattendue dès le début : le personnage principal disparaissait mystérieusement. "Il est où ?" se demandait-il, déconcerté par cette absence soudaine, rappelle Paris Confidences.
Dans le déni le plus total, l’ex-complice de Muriel Robin se comporta étrangement à l’école, annonçant fièrement la mort de son père, comme s’il s’agissait d’une « scène tirée d’une fiction. La douleur était trop vive, alors il préféra la camoufler en la simulant. Cette attitude inhabituelle lui conféra une aura particulière, comme si sa vie devenait un véritable drame. Mais derrière cette façade, il cachait un séisme émotionnel.
Ce n’est que bien des années plus tard, en thérapie psychanalytique, que « Pierre parvint enfin à faire face à son chagrin ». La disparition de son père ne fut pas une chance, mais un événement « traumatisant qui marqua à jamais son existence ». Aujourd’hui, il apprend à pleurer « la perte de son père », en comprenant l’impact qu’elle a eu sur sa vie. Un chemin vers la guérison et la compréhension de soi-même.
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