Si Patrick Bruel est très présent sur instagram durant le confinement, où il proposait des shows pour permettre aux fans de mieux vivre leur isolement, Julien Doré a fait à lui fait montre de discrétion.
Et il en explique la raison lors d’un entretien accordé à Paris Match, dans le cadre de la promotion de son dernier "Aimée". Et il en profite pour dénoncer la démarche de Patrick Bruel ou encore de Thomas Dutronc, et bien d’autres qui étaient très présents durant le confinement.
"L’enfer c’est pas les autres, c’est ceux qui font rêver et qui te vendent leur culotte pour un peu de télé", a-t-il indiqué dans l’une de ses chansons.
Et il conforte ce propos dans Paris Match. "C’est insupportable de faire passer son taux de notoriété avant sa matière artistique. C’est trop souvent le cas désormais", a-t-il lancé, sans toutefois citer de nom.
"Là où ça devient pathétique, c’est quand cette mise en avant du taux de notoriété est accompagnée d’une volonté étrange d’aider, de participer", a-t-il poursuivi.
A ses yeux, l’aide devait se faire avec le "plus de pudeur et de discrétion possible".
"Pendant la période qu’on a traversée, je ne sentais pas à l’aise avec le fait d’aider d’une façon très médiatique. Pour certains, c’était une manière de ne pas être oubliée".
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