Patrick Bruel a partagé une rencontre bouleversante sur son compte Instagram. Il a rencontré les familles de certains otages franco-israéliens détenus à Gaza. Cette rencontre a été immortalisée.
Déjà à l’honneur dans les colonnes de ’Closer’, qui revient sur son séjour à Île Maurice, le chanteur l’était également sur TV5 Monde, qui a diffusé la grande soirée de l’amitié franco-chinoise, à l’occasion du nouvel an chinois.
Plusieurs artistes français participent bien évidemment à cet événement, et c’est le cas non seulement de Vincent Niclo, Arielle Dombasle, ou encore Jeanne Cherhal, mais aussi Patrick Bruel, qui révèle apprendre le chinois grâce à son fils de 11 ans.
Le fiancé de Caroline commence tout d’abord par saluer les qualités de Bai Wen, la chanteuse avec qui il a partagé la scène.
’La chanteuse chinoise avec qui je partage le duo est hyper professionnelle, elle a hyper bien bossé la chanson. Quand elle a chanté la chanson la première fois, on aurait dit que c’était une de ses chansons. Je suis content, c’est très flatteur de faire ça’, confie tout d’abord le chanteur.
’Une fois qu’on a bien répété avec l’orchestre, et que j’arrive à prononcer à peu près correctement, et que je vois des sourires se dessiner sur le visage des Chinois, ça va mieux, ça veut dire que je ne dis pas forcément n’importe quoi’, dit-il, expliquant que chanter en chinois a été une sacrée épreuve.
Pour cela, il a pu compter sur son fils de 11 ans, Oscar, né de sa relation avec Amanda Sthers. ’La chanson, je l’ai entendue il y a quelque temps à Paris. D’ailleurs, quand je l’ai entendue la première fois, je me suis dit que ce n’était pas possible. Et c’est mon fils Oscar, qui a 11 ans et qui étudie le chinois depuis trois, quatre ans à l’école, qui m’a fait bosser. Il a chanté la chanson devant moi, il m’a fait travailler, et c’est devenu beaucoup plus facile’, a-t-il expliqué.
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