
Lors de la réouverture de Notre-Dame de Paris ce samedi, Carla Bruni a fait sensation en portant un manteau gris déjà vu dans son vestiaire.
Une nouvelle inattendue a alerté l’instinct maternel de Carla Bruni-Sarkozy. Son sang n’a fait qu’un tour en découvrant que sa fille Giulia, âgée de seulement 13 ans, était au cœur d’une situation délicate. Le magazine Ici Paris évoque cette affaire dans ses pages.
L’hebdomadaire people rappelle un incident concernant la jeune Giulia : son bannissement de la plateforme TikTok. Et cela a choqué sa mère.
Cette exclusion s’explique par le cadre légal. Il faut dire qu’une loi adoptée le 7 juillet 2023, visant à combattre le harcèlement et la haine en ligne, a notamment instauré la "majorité numérique".
Celle-ci a été fixée à 15 ans par les autorités françaises. Dans ce contexte, il est fort probable que Giulia ait été bannie du réseau social sur lequel elle passait simplement du temps, en raison de son âge qui est inférieur à cette limite légale, rappelle la publication.
Le texte de loi précise les sanctions encourues par les plateformes qui ne respecteraient pas cette règle.
Les opérateurs peuvent risquer une amende conséquente, dont le montant « ne pouvant excéder 1 % de son chiffre d’affaires mondial ». Une pénalité financière très importante qui rend les plateformes, et particulièrement celles ayant une présence en France, très prudentes.
Un paradoxe subsiste toutefois et interroge : comment se fait-il que de nombreuses autres adolescentes mineures continuent d’utiliser ces plateformes sans être exclues ?
La réponse semble complexe, mais dans le cas de Giulia, la notoriété de ses parents a un effet direct : elle permet de médiatiser ce problème spécifique lié à l’application de la loi, ce qui, évidemment, n’est pas le cas pour la majorité des autres jeunes filles..
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