Michèle Torr, une icône de la chanson française, traverse une période difficile. Son cœur et son âme portent les stigmates de blessures profondes, qui laissent planer le doute sur son avenir.
Les séquelles auxquelles il est fait référence dans les colonnes du magazine France Dimanche sont plutôt psychologiques et en lien avec son mari, un pervers narcissique.
La chanteuse souffre par ailleurs de la maladie de Horton, une inflammation des artères, la torture depuis des années. La cortisone, son seul rempart, lui offre un soulagement incertain, au prix d’une prise de poids incontrôlable et d’un moral en berne.
Son cœur, lui aussi, est meurtri. En 2016, une fibrillation auriculaire l’oblige à annuler des concerts. Quatre électrochocs n’ont pu venir à bout de ce trouble du rythme cardiaque, et une intervention chirurgicale, envisagée pour le soigner, s’est avérée impossible à cause de la maladie de Horton, précise la publication.
Michèle Torr vit donc avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Mais son cœur est également blessé par les souvenirs d’une relation compliquée. Son mariage avec Jean-Pierre Murzilli, marqué par la violence et les humiliations, a laissé des traces indélébiles.
Des cicatrices à vif qu’évoque la chanteuse dans un entretien accordé à Nous Deux.
« Cette histoire m’a épuisée moralement et physiquement, je faisais des montées de tensions énormes », a-t-elle confié. « Et je suis partie car je souffrais beaucoup. ». « Je suis vraiment heureuse de vivre seule à présent dans mon sud », dit-elle encore.
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