Un rein de Michel Drucker avait souffert suite à son opération cardiaque, une lourde intervention qui aurait pu lui coûter la vie. Il a même été sous dialyse.
L’animateur de France 2 en parle lors d’un entretien accordé au Parisien, où il évoque un retour pour le mois de mars.
Pour autant, il n’est toujours pas sorti d’affaire, et même contraint à une lourde rééducation. Ses journées sont à l’heure actuelle rythmées par les examens médicaux.
"Prise de sang, de tension dès 7 heures du matin, puis la montée des marches. Sept étages. Et l’après-midi, c’est vélo-santé", a-t-il confié avant de préciser avoir commencé par cinq minutes à 20 watts.
Maintenant, Michel Drucker a rythme plutôt soutenu puisqu’il arrive à trente minutes à 45 watts, ce qui "correspond à 20 km par heure". "Il y a aussi les médicaments : antibiotiques, fer, anticoagulant, cholestérol, diurétique", précise Michel Drucker, rappelant qu’une fois opéré, le corps ne fonctionne pas normalement. Il doit composer avec un quotidien très compliqué.
"J’ai eu des drains. J’ai été sous dialyse, parce qu’un rein avait souffert", a indiqué l’animateur vedette de France 2, qui ne précise cependant si son rein fonctionne désormais normalement.
"Et je redoute les piqûres, parce que je n’ai plus de veine, si j’ose dire. Le nombre de prises de sang a été phénoménal", commente-t-il dans Le Parisien, où il profite pour rendre hommage au personnel de santé qui s’est illustré par
un dévouement inouï. "On a le système de santé le plus performant au monde. Peu importe qui on est", a-t-il fait savoir.
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