Près de six ans après la disparition du rockeur légendaire Johnny Hallyday, la vente de sa résidence emblématique à Marnes-la-Coquette reste un défi pour Laeticia Hallyday.
Comme le rapporte Closer, malgré les multiples spéculations sur les potentiels acheteurs, la maison baptisée La Savannah peine à trouver preneur, et les raisons de cette difficulté sont révélées par l’agent immobilier en charge.
Depuis le décès de Johnny Hallyday en décembre 2017, la séduisante blonde a mis en vente la propriété pour faire face aux dettes colossales du Taulier, estimées entre 30 et 34 millions d’euros. Cependant, malgré les rumeurs persistantes d’acheteurs intéressés, la villa de 1 100 m² n’a toujours pas trouvé acquéreur. Une situation que l’agent immobilier Nicolas Hug attribue à la renommée particulière de la demeure.
L’emplacement symbolique où Johnny a rendu son dernier souffle suscite l’intérêt, mais cette même notoriété se retourne contre la vente. Les curieux sont plus enclins à visiter par simple curiosité qu’à envisager l’achat réel. "Il y a eu une mauvaise communication. Toute la publicité qui a été faite autour de la maison est un frein. Ce n’est pas facile de s’occuper d’un bien grillé", souligne-t-il.
Face à ces défis, le prix de la maison a subi une réduction significative, passant de 26 millions d’euros à 10,5 millions d’euros. Malgré cette baisse substantielle, les acheteurs potentiels restent réticents. Dans ce contexte, Nicolas Hug a suggéré à Laeticia Hallyday de retirer temporairement l’annonce de vente pour "redonner une virginité" à la propriété.
Laeticia Hallyday est maintenant confrontée à un dilemme déchirant : maintenir la vente malgré les défis ou opter pour une pause stratégique dans l’espoir de raviver l’intérêt pour la demeure imprégnée d’histoire. L’avenir de La Savannah demeure incertain, entre la nostalgie des fans et la réalité du marché immobilier.
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