Kate Middelton devra encore attendre mai prochain pour être fixée sur le sort de la bataille qu’elle livre à Closer, qui a diffusé des photos d’elle seins nus.
Il y a quelques quatre ans, Closer avait publié des photos de Kate Middleton seins nus.
La duchesse de Cambridge s’était en effet retrouvée en plein buzz suite à la parution de ses photos dénudées.
Elles ont été prises en septembre 2012 lors de son séjour dans la propriété française du neveu de la reine.
Un représentant du couple princier avait fait savoir qu’une poursuite contre « Closer » allait être engagée, une poursuite qui pourrait coûter très cher au magazine comme le prétendait l’avocat Mathieu Davy dans un billet posté dans le « Plus du Nouvel Observateur ».
L’homme de loi expliquait que les conditions sont réunies pour une condamnation maximale. « Les photos volées, la violation de l’intimité et le statut de la famille royale. Les dommages et intérêts seront maximisés », avait-t-il indiqué, précisant que la princesse avait demandé au moins 100 000 euros. « Ils n’obtiendront pas tout, mais le journal va payer cher, c’est certain », poursuivait-il.
Mais le 2 janvier dernier, la directrice de la rédaction de Closer, le président du groupe de presse Mondadori (propriétaire du titre), le directeur général délégué du journal La Provence, une photographe du quotidien régional et deux photographes d’une agence parisienne étaient attendus devant le tribunal correctionnel de Nanterre. Ils devaient répondre des accusations d’ « atteinte à la vie privée par fixation ou transmission d’une image d’une personne ».
Leur procès a finalement été repoussé au 2 mai 2017.
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