Si Johnny Hallyday n’était pas dans un état stable, il aurait été hors de question pour ses médecins à Paris de l’autoriser à prendre un vol à Saint Barth.
« Il fallait que ces résultats soit vraiment très encourageants pour laisser partir l’artiste dans une ile ou les infrastructures médicales ne peuvent gérer ce genre de situation », rapporte dans son numéro de cette semaine VSD, qui affirme le rockeur de 74 ans sauvé par l’amour des siens, alors qu’il bataille depuis quelques mois contre un cancer des poumons.
Et à l’hebdomadaire de rappeler que Johnny Hallyday en avait fait l’amère expérience en 2012, quand il avait été victime d’un malaise cardiaque.
Il avait dû être évacué vers les CHU de Guadeloupe, puis en Martinique.
Après des examens effectués le 28 juillet dernier, Johnny Hallyday et son clan ont décollé du Bourget dans l’avion privé de Jean-Claude Darmon.
Closer confirmait aussi que Johnny Hallyday avait bel et bien été hospitalisé durant quatre jours.
Epuisé par sa tournée, il devait garder le repos.
Et le cancer du poumon contre lequel il se bat depuis des mois au fil d’une chimiothérapie agressive nécessite « d’éviter tout excès de fatigue ».
Fin juillet, les spécialistes ne lui avaient donc pas laissé le choix : « avant de s’envoler vers une destination aussi lointaine que les Caraïbes, il devait faire un check’up complet pendant quatre jours ».
Face à son impatience, son départ a finalement été avancé d’une journée.
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